Présentationde coupe-papiers artisanaux fabriqués par les Poilus dans les tranchées à partir d'objets de récupération comme des munitions.
Lesbriquets de poilus et les objets de fumeurs. Le briquet de poilu, ou briquet de tranchée, fut l’une des premières fabrication des soldats sur le front. Les allumettes, peu discrètes et moins fiables, furent vite remplacées par le briquet à essence, facile à fabriquer ex nihilo ou bien même en détournant un objet s’y prêtant.
l art des tranchée ou l on pourrait plutôt dire, l art des poilus ! car il est bien difficile de prouver que tel objet, a été fabriqué dans une tranchée ! bien sûr, il y en a eu, mais cela se passait probablement dans les 2ème ou 3 ème
Lartisanat de tranchée est très répandu : douilles d’obus gravées, coupe-papier, cannes gravées, objets religieux sont fabriqués par les poilus. Les journaux de tranchées sont édités par des soldats mécontents du « bourrage de crâne » lu dans la presse censurée. Certaines familles envoient au front la presse locale : pour le soldat, le lien est ainsi maintenu avec sa
Atravers le destin de plusieurs poilus, l'ouvrage entre dans le quotidien des soldats français dans les tranchées de la Première Guerre mondiale, et s'intéresse plus particulièrement à leurs lectures et aux conditions dans lesquelles elles se pratiquaient.
Vouspourrez y admirer des tenues complètes d’époque de la première et de la deuxième guerre mondiale mais également l’équipement utilisé par les poilus. Vous y verrez des objets du quotidien mais aussi des objets fabriqués dans les tranchées. Des témoignages écrits et photographiques seront présentés au public afin de mieux s’immerger dans la peau d’un
Découvrezles offres Objets de poilus qui vous ressemblent grâce aux conseils et avis de nos membres (social shopping français).
Lamédiathèque Jules-Verne accueille, samedi 20 novembre, de 14 à 18 heures, François Maguin, historien et ramasseur d’objets, pour
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Argent & Placements Au moment où les commémorations débutent, le centenaire de 1914-1918 ne laisse pas indifférent le marché de l'objet ancien. Au moment où les commémorations débutent, les expositions se préparent et les documentaires commencent à sortir… Le centenaire de 1914-1918 ne laisse pas non plus indifférent le marché de l'objet ancien. Ce que l'on appelle l' artisanat de tranchées » ou encore les objets de poilus » suscitent notamment un intérêt, sans doute éphémère. Il s'agit de ces milliers de petits objets confectionnées par les soldats ou parfois à l'arrière du front au cours de leurs longues heures d'attente. La production de souvenirs de tranchées a été énorme, souligne l'expert en souvenirs historiques Jean-Claude Dey, mais ce sont de petits objets, qui individuellement ne valent pas très cher. Leur cote devrait grimper à partir de cette année, mais sans atteindre des sommets. » L'expert appuie son diagnostic sur l'exemple, encore assez récent, des souvenirs de la Révolution françaises mis en vente à l'occasion du bicentenaire de 1989 Les prix ont explosé à ce moment-là, mais c'est bien retombé ensuite… » Jean-Claude Dey, qui collabore avec les maisons de vente, se voit déjà proposer des collections entières à passer en adjudication, mais les propriétaires veulent souvent attendre d'avoir exposé leurs trouvailles avant de s'en séparer, et, du coup, les ventes sont retardées. Pourtant, les premiers seront sans doute les grands gagnants, car, chacune de ces collections étant composée de centaines voire de milliers de pièces, l'intérêt des acheteurs va vite s'émousser… » DES CARTES POSTALES PLEINES D'AMOUR Les poilus se sont servis de tous les matériaux laissés à leur disposition le laiton ou le cuivre des douilles de fusils ou d'obus, des morceaux de bois récupérés, etc. Parmi leurs principales fabrications des briquets, afin de remédier au problème des allumettes mouillées. Les briquets de poilus valent aujourd'hui entre 5 et 30 euros, estime Jean-Claude Dey. Ces souvenirs sont très émouvants, ont une forte valeur sentimentale, mais ne se vendent pas grand-chose. » Outre les petits objets, les amateurs s'intéressent beaucoup à la correspondance de ces soldats parfois partis durant des années. Ils écrivent beaucoup de cartes postales, et les textes sont souvent très jolis, emplis de sentiments et d'amour, et assez fréquemment écrits en vers. » Ces cartes sont la plupart du temps proposées en lots dans les ventes aux enchères, et à l'unité chez les spécialistes de la carte postale ancienne. Rien de comparable, en termes de prix, avec les reliques telles que les pièces d'uniforme, ou les objets ayant appartenu à de grandes figures de l'époque. Par exemple, un képi de général peut atteindre, en vente aux enchères, 500 à 600 euros ; et une tenue complète bleu horizon, autour de 3 000 euros. Du côté des armes, Jean-Claude Dey ne prévoit pas de flambée des prix, pour une raison bien précise Les armes sont encore prohibées, ce qui signifie qu'il reste compliqué de les acquérir. Le revolver modèle 1892, utilisé par les officiers, est toujours interdit, à moins de le faire démilitariser, mais cette démarche déplaît toujours aux collectionneurs. » Samuel Laurent Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Un mouchoir brodé et encore imprégné du parfum de la fiancée, un bouton arraché au manteau d’un officier, des dominos maintes fois tombés et relevés au fond d’une tranchée … Ils sont nombreux et émouvants ces souvenirs de guerres, ces objets, ces écrits ramenés du front par le Poilu enfin rentré ou malheureusement envoyés à la famille endeuillée. Vestiges d’une Histoire commune et traces d’un passé personnel, ils racontent à la fois notre Histoire et disent, celle intime et privée, d’un soldat parti au front, ainsi que celle des siens restés à l’arrière. C’est dans le cadre de notre séquence sur la 1ere Guerre mondiale que j’ai proposé à mes troisième de concevoir une boîte de famille renfermant les objets, les écrits, les documents d’un Poilu de la 1ere Guerre. Un écrin précieux qu’on imagine conservé depuis des années et racontant une vie, une destinée. Des boîtes d’une émotion rare qui racontaient aussi l’Histoire … Si vous pratiquez l’exercice de la Boîte à lecture, alors vous savez sans doute que les élèves s’investissent beaucoup dans ce genre de travaux. Ils et elles déploient à ces occasions des trésors d’inventivité et de créativité. Connaissant mes troisièmes, je savais déjà ne pas être déçue, mais je ne m’attendais pas, avec ce projet Trésor de guerre, à recevoir de si émouvants travaux. Plongeant parfois dans leur propre histoire familiale, enfermant dans leur boîtes de métal, de vrais souvenirs de famille datant de 14-18, certains ont su donner à ce projet, une dimension personnelle et authentique que je n’avais même pas envisagée. Fictives ou authentiques, leurs boîtes Trésor de guerre avaient pour mission de raconter une histoire, de faire revivre à travers écrits, objets et documents reconstitués, une vie passée dans les tranchées … Un exercice ambitieux, mais un pari gagné ! Les grandes lignes de l’exercice Imaginer et réaliser la boîte à souvenirs de guerre d’un soldat français de la guerre de 14-18. Pensée comme une précieuse boîte de famille, elle renfermera des documents écrits d’époque et des objets souvenirs ayant appartenu à un Poilu. Ces objets-mémoires raconteront son histoire, sa vie sur le front et celle de sa famille restée à l’arrière. La boîte et son contenu La boîte en fer, en bois ou en carton la consigne principale était de parvenir à lui donner un aspect ancien, vieilli. Pour ma part, j’ai laissé aux élèves la possibilité d’utiliser une boîte déjà existante vieille boîte à gâteaux ou de bouillon par exemple … mais valorisé ceux qui avaient fait le choix de fabriquer eux-même un écrin à l’aspect ancien. L’intérieur de la boîte pour la garnir, les élèves ont utilisé la fiche consigne proposée en fin d’article. Ils y ont donc déposé à ma demande 4 écrits imposés, 2 écrits libres de leur choix et 6 objets confectionnés par leurs soins ou non. Pour faciliter l’identification et l’évaluation des travaux, ils ont aussi placé dans leur boîte une fiche synthèse, disponible en fin d’article également. Quels écrits ? Quels objets ? Parmi les trésors déposés dans leur boîtes, mes élèves se devaient de respecter quatre formats imposés et évidement travaillés au cours de notre séquence Un carnet militaire renseigné et complété au nom du soldat. Mes 3eme ayant travaillé sur le siteMémoire des Hommes avec ma collègue d’Histoire, ils avaient la possibilité d’endosser la véritable identité d’un Poilu de 14-18 et d’utiliser les informations recueillies sur le site. Prévoyez de fournir un carnet vierge, ou si vous demandez à vos élèves de le fabriquer, je vous conseille de lister avec eux les éléments à y faire figurer. Une séance de recherches documentaires en salle informatique ou au CDI peut être la bienvenue. Une carte postale envoyée au soldat et écrite depuis l’arrière. Un exemplaire du journal Le Poilu Déchaîné contenant deux courts articles. Ici, j’ai fourni aux élèves une version vierge à compléter. Une lettre manuscrite écrite par le soldat. Petite particularité de la lettre, elle se doit d’expliquer la présence dans la boîte des six objets. Voir le sujet à télécharger, en fin d’article Les écrits libres pistes, idées … Planche de tickets de nourriture, paroles de la chanson de Craonne, bon pour une permission accordée, feuille d’hospitalisation ou de soins, carte de correspondance militaire, fascicule ou ordre de mobilisation, certificat de bonne conduite, récompense pour acte de bravoure, avis de décès, carte d’infirmier … Les pistes ne manquent pas et là encore, n’hésitez pas à intégrer à votre projet une phase de recherches documentaires afin de guider vos élèves. Une collaboration étroite avec votre collègue documentaliste et votre collègue d’Histoire-Géographie est vivement conseillée. Ils ou elles auront certainement les ressources et les références qui pourraient venir à vous manquer. Et comme pour les objets, encouragez les élèves à aller piocher des pistes et des idées dans la correspondance des Poilus. Quels objets ? Si j’avais bien glissé quelques idées, je dois dire ici que la magie de ce type de devoirs a opéré … mes élèves ont parfois su faire de fonds de tiroir de véritables souvenirs de guerre ! Et quand certains ont exhumé d’un grenier, d’authentiques trésors de famille, l’émotion était garantie. Voici donc ici, la liste de ce que j’ai pu leur proposer à titre d’exemples et celle aussi de leurs trouvailles et bonnes idées Mes suggestions un bijou, une photographie, un carnet de croquis contenant des dessins griffonnés dans la tranchée, des fleurs séchées, une médaille militaire, une pièce de tissus mouchoir, morceau de dentelle …, une montre ancienne, une vieille clé, une plaque d’identification militaire française. Leurs trouvailles de vieux dés, un jeu de tarot, de vieux dominos, des balles, des douilles, de vieilles pièces de monnaie, des boutons, des objets artisanaux fabriqués dans les tranchées pipe et cuillère en bois sculpté, vase sculpté dans une douille d’obus, une boussole, des briquets, une boîte d’allumettes, une mèche de cheveux, une paire de gants en dentelle, de vieilles montres à gousset, des livres anciens, des flasques, une cantinière en émail, une peigne, des croix chrétiennes, un cierge … Evaluer ? Comment ? Pour ce projet, j’ai attribué deux notes à chaque élève et c’est un choix que je ne regrette pas. Comme souvent pour ce type de travail, j’insiste sur la partie rédactionnelle et veille à ce que créativité, investissement et travail d’écriture soient justement appréciés, ce qu’il m’a justement été possible avec cette double évaluation. Les élèves ont donc obtenu ici – Une note sur 20 pour la lettre manuscrite.– Une note sur 20 pour la boîte et son contenu 14 points au total pour le contenu des écrits, chaque écrit rapportant 2 points + 6 points pour la fabrication de la boîte, des écrits et des objets soin / qualité des créations ou des reproductions / investissement. Pour le détail du barème, je vous propose de télécharger en fin d’article ma fiche de notation. Enfin, pour tout vous dire sur ce projet, j’ai été si émerveillée à la correction et si reconnaissante des trésors qu’ils acceptaient de me confier que je proposerai une nouvelle fois ce travail à de futurs 3eme. Ces boîtes aux trésors dégageaient pour beaucoup une émotion véritable et racontaient une vraie histoire. Mes élèves ont su avec talent faire revivre le passé, le temps de l’ouverture d’une boîte … un projet fort qui ici a fait l’unanimité. Télécharger la fiche consignes Télécharger la fiche évaluation Télécharger la fiche synthèse élève Si vous tentez l’exercice, n’hésitez à m’envoyer par mail les photos des créations de vos élèves, j’aurais plaisir à les partager avec votre accord avec nos collègues dInstagram. Et si vous avez des questions sur le projet, n’hésitez pas non plus à les poser par mail ou en MP. Enfin, sachez que pour cette même séquence, l’activité Carte postale sonore et toujours disponible et détaillée ici. A très bientôt ! Céline.
objets fabriqués par les poilus dans les tranchées